fanfic : svp aide avec mon Français

J'ai écrit mon premier fanfic de JoA. Je le posterai à Fanfiction.net bientôt. C'est écrit en anglais, mais j'également ai fait une traduction française. Je voudrais poster cela dans le secteur Français de Fanfiction.net.

Hélas, je sais que le version français a beaucoup d'erreurs. Ainsi espoir de moi que vous aurez l'intérêt en faisant des corrections.

Aussi, j'espère que vous apprécierez l'histoire ! Et merci d'avance !

(Je ne peux pas le poster jusqu'à ce que quelqu'un fasse d'abord une réponse dans ce topic. Puis je le posterai dans deux sections pour faciliter l'acte de corriger.)

C bon Aaron, tu peux poster !!!!

Merci Roxane !
Maintenant je posterai l'histoire...

J'ai presque oublié un avertissement de spoiler ! Cet histoire est après les événements de épisode 2x19 (Trial and Error).

IL Y A DES SPOILERS ICI !
Si vous ne vu pas l'épisode de 2x19, ne lisez pas plus !!!!!!!!

= édité pour effacer des spoilers =
= édité pour effacer des spoilers =
= édité pour effacer des spoilers =

aaron a écrit:

J'ai presque oublié un avertissement de spoiler ! Cet histoire est après les événements de épisode 2x19 (Trial and Error).

IL Y A DES SPOILERS ICI !
Si vous ne vu pas l'épisode de 2x19, ne lisez pas plus !!!!!!!!

Bon! alors je ne lis pas... je le ferais plus tard ! :wink:

= édité pour effacer des spoilers =

Notez pour la parti 2 :
Le discours de Samantha est délibérément incorrect de petites manières (parce qu'elle est très jeune). Et peut-être "malveillante" est-il un mot trop grand pour qu'emploie-t-elle ? [édité 11 Mai] J'ai changé cet mot de Samantha en "cruel."

Alumer Une Bougie - partie 2 a écrit:

Une certaine distance derrière lui et du côté opposé de la rue, Joan suivi la figure obscurément colorée, observant et appréciant son attitude de confiance et de nonchalance. À un point, elle pensa qu'elle lui écouté siffler un petite mélodie, mais était que lui ou un certain voisin invisible quelque part ? Elle s'est demandée s'il était même possible que Dieu siffle sous cette forme avec sa perforation de lèvre. Avant qu'elle pourrait décider, cependant, un nouveau bruit a attrapé son attention. Le bruit mou de quelqu'un pleurant.

Les pelouses le long de ce côté ont été légèrement élevées du niveau de la rue lui-même, et la plupart des maisons ont eu quelques petites étapes du trottoir de ville que cela a mené au trottoir de maison. Se reposer sur les escaliers, de trottoir devant une maison jaune avec les obturateurs blancs, avait roux-cheveu la fille peut-être 6 ans de, pleurant sous la pluie.

Joan jetta un autre coup d'oeil vers Dieu et a mentalement gesticulé à elle-même. Son discussion interne duré seulement un moment. Elle approchée le roux et demanda :

- Salut là. Es-tu bien ?

La petite fille ne soulevé pas sa tête, mais secoué sa tête emphatiquement.

Joan placé son sac de cours sur l'étape humide à côté de l'enfant, puis s'est reposé sur le sac.

- Je m'appelle Joan. Quel est ton nom ?

- S'mantha.

- Samantha ? C'est un joli nom.

Samantha obstrué en arrière un autre sanglot et regarda vers le haut Joan avec les yeux vert clair.

- Ne pas joli comme Vanessa ! déclara-t-elle.

- Vanessa est un joli nom aussi, Joan convenu.

- Vanessa ne joli pas plus, dit-Samantha. Elle toute s'est cassée et laid.

- Oh. Qui est Vanessa ?

- Ma Barbie! Samantha déclara avec une tonalité indiquant que Joan devrait avoir su cela. Elle dirigé son doigt à la poupée boueux se trouvant par ses pieds.

Joan atteint pour la poupée de mode qui a eu les cheveux très longs (apparemment blonde de platine) et les quelques rétros années 60 mini-robe avec les raies roses-chaudes. Un du rose-chaud correspondant go-go bottes était absent, et car Joan pris la poupée, un des bras tombé entraînant Samantha commencer un rond frais des larmes et des sanglots.

- Mais hé, ne pleurez pas, Joan dit, Vanessa est encore joli. Elle est simplement...

Elle essayé de juger la poupée partie d'elle pour éviter d'obtenir la boue sur elle-même :

- Elle a simplement été à la station thermale et a eu un bain de boue. Tous les supermodels font cela.

Les yeux de Samantha se sont élargis légèrement avec l'intérêt croissant.

Ouais, Joan répondit à la question qui n'a pas été parlée, C'est ce qu'elles font aux stations thermales, et c'est très cher et luxueux. Elles sont couverts dans la boue et alors elles ont un massage et elles ont mis des tranches de concombre sur leurs yeux.

- Porquoi ?

- Euh...bien, je devine que ce se sent bon. Et quand elles sont finis, elles prennent une douche et nettoient toute la boue, et alors elles se sentent bien plus jolis qu'avant.

- Parce que la boue est allée ?

- Ouais, peut-être c'est pourquoi.

- Son bras ?

- Pas de problème.

Joan soulevé le poupée-bras mince, effacé un peu de boue, alors serré le joint fermement contre l'épaule de la poupée. Avec de un peu de la pression et une légère torsion, le bras sauté dans l'endroit.

- Wow ! Samantha hurla, Quand j'essayé, il n'allez pas !

- Bien, maintenant son bras est très bien. Et quand tu donnes à Vanessa un bain, elle sera aussi bonne que nouvelle. Et plus joli que jamais.

Samantha accepta la poupée réparée des mains boueuses de Joan :

- Merci, dit-elle. Puis elle libéra un soupir profond et plaintif.

- Quel est erroné ? Joan demanda.

- Je souhaite que vous pourriez fixer Kathy, aussi.

- Bien, peut-être je pourrais...

Joan regarda autour pour une autre poupée, n'a pas vu un, alors elle s'est rappelée de rechercher la rue pour Dieu, mais ne l'a pas vu non plus. Elle souri d'un air affecté à elle-même pour l'occasion perdue. Peut-être un autre jour. Elle atteint vers le bas au côté des escaliers et nettoyée des mains contre l'herbe humide, alors elle tourna son attention de nouveau au petit roux :

- Kathy est-elle allé à la station thermale, aussi ?

- Kathy pas une poupée, dit-Samantha. Elle ma meilleure amie, mais pas pas plus.

- Pourquoi pas plus ?

La lèvre inférieure trembla de Samantha :

- Elle était cruel. J'ai pensé qu'elle était mon amie, mais elle était cruel. »

- Est-ce que tu veux me dire ? Je suis un bon auditeur.

Samantha inclina la tête et commença à dire son histoire entre les sniffles.:

- Kathy voulu Vanessa, et je dit non parce que maman dit toujours « ne donnez pas loin tes jouets... »

La dernière expression été clairement fournie comme imitation de la mère de Samantha, et Joan n'a pas pu s'empêcher de sourire.

- ...ainsi dit non je, et Kathy devenus fâché.

- Qu'a-t-elle fait ?

- Elle volé Vanessa quand je ne pourrais pas voir, et alors elle arraché son bras et fait lui tout sale et lui jetée dans la rue !

Joan inclina sa tête :

- Wow, c'est vrai, c'est cruel.

- Je pensé elle était mon amie. Je pensé elle m'a aimé. Elle sait j'aime Vanessa. Et je ne lui étais jamais mauvais ! Les larmes de Samantha menaca de éclater dehors encore.

- Oh, c'est l'ok, Samantha, c'est pas grave. Après qu'elle ait un bain, Vanessa sera joli encore, et elle a encore son bras, bonne comme nouvelle.

- Je sais, le roux dit avec un sniffle, Vanessa est bien. Mais de Kathy? Quand je elle vois, tout que je pense est comme elle cruel était. Comment est-ce que je peux jouer avec ses pas plus ? Elle m'a blessé le vrai mauvais. Elle était si cruel !

Samantha regarda vers le haut Joan, avec ses yeux verts parlant en faveur :

- Ce qui si elle est cruel encore ?

Joan regarda dans ces jeunes yeux et vu la confiance innocente de Samantha ; c'était une confiance que cette grande fille qui a fixé sa poupée précieuse aurait également une solution pour son plus grand dilemme, [ ... ]. Un noeud serra dans la gorge de Joan pendant qu'elle comprenait soudainement pourquoi elle avait suivi Dieu en de cette rue.

Joan enroula un bras autour de la petite des épaules fille. Dans sa voix plus calme dit-elle :

- Je ne sais pas, Samantha. Je souhaite que j'aie eu la réponse à celle, mais je simplement ne sais pas. Je pense qu'il est important d'essayer de se rappeler que même lorsque quelqu'un que t'ai fait confiance se comporte à toi mal, ce ne signifie pas que tu es mauvais, ni il signifie l'extrémité du monde. Tu es toujours aimé. Beaucoup. Tu comprends cela ?

Samantha inclina se tête avec précaution, tout en regardant la poupée dans elle des mains.

Joan continua :

- Je sais qu'il blesse. Et je sais qu'il est difficile d'imaginer qu'il y a n'importe quelle bienveillance dans quelque chose comme ceci, mais c'est là. Quelque part, c'est dedans là, et c'est quelque chose que tu peux savoir à ton coeur, et c'est...c'est fait partie de qui tu es.

Ignorer les souillures de boue, Samantha frotté les cheveux en nylon de platine avec un geste tendre :

- Tu comprends cela, Vanessa ? elle demanda la poupée dans l'imitation de Joan, Tu es aimé beaucoup et c'est à ton coeur.

Après que la pause d'un moment, elle ait regarda vers le haut Joan encore, cette fois avec un sourire :

- Vanessa d'accord.

Joan souri avec elle et donna aux épaules de Samantha une compression d'adieu douce :

- Je dois aller maintenant. Elle tenu et soulevé son sac de cours.

Samantha s'est tenu également, sourire immobile :

- Moi aussi, dit-elle, Vanessa a besoin d'un bain. Adieu.

- Adieu, Joan appela comme elle commencé à marcher dans la direction à chez lui.

Joan atteinta le coin de l'intersection quand elle entendu un cardinal rouge encore. Était-il un oiseau différent ou peut-être le même ? Elle jeté un coup d'oeil vers le haut pensant elle pourrait le voir et dû l'ombrager des yeux contre la lumière du soleil lumineuse. Elle ne s'est pas rappelée de noter quand la pluie s'était arrêtée, mais les nuages s'étaient cassés et le ciel eu beaucoup de pièces bleues gaies.

[ ... ]

Comme elle tourné le coin sur l'avenue d'Euclid et pourrait voir chez lui en avant, les nuages à l'intérieur d'elle également séparé, et elle senti une chaleur intérieure soudaine.

- Il y a de bienveillance dedans-il quelque part, que je puisse la voir ou pas, elle murmura presque sans bruit, N'importe ce que, je suis aimée, et c'est dedans mon coeur.

Pour la première fois puisque [ ... ], Joan senti le flottement de l'espoir pour un futur. Le cardinal rouge chanté sa chanson encore dans les cimes d'arbre au-dessus d'elle.

FIN

Voilà. Je me repose dans des vos mains.


[édité beaucoup de fois parce que j'essaye de l'améliorer.]

aaron a écrit:

J'ai presque oublié un avertissement de spoiler ! Cet histoire est après les événements de épisode 2x19 (Trial and Error).

IL Y A DES SPOILERS ICI !
Si vous ne vu pas l'épisode de 2x19, ne lisez pas plus !!!!!!!!

Arf merde

Kanguhru a écrit:

aaron a écrit:

J'ai presque oublié un avertissement de spoiler ! Cet histoire est après les événements de épisode 2x19 (Trial and Error).

IL Y A DES SPOILERS ICI !
Si vous ne vu pas l'épisode de 2x19, ne lisez pas plus !!!!!!!!

Arf merde

Pareil !!!

Roxane a écrit:

Kanguhru a écrit:

aaron a écrit:

J'ai presque oublié un avertissement de spoiler ! Cet histoire est après les événements de épisode 2x19 (Trial and Error).

IL Y A DES SPOILERS ICI !
Si vous ne vu pas l'épisode de 2x19, ne lisez pas plus !!!!!!!!

Arf merde

Pareil !!!

Tout pareil!!!

MgX, Kangu, Roxane, Manuela, venez, retour, svp !
Tous les spoilers sont effacés !
C'est sûr ! Il n'y a aucun danger !!!!

prie prie prie prie prie prie prie

aaron a écrit:

MgX, Kangu, Roxane, Manuela, venez, retour, svp !
Tous les spoilers sont effacés !
C'est sûr ! Il n'y a aucun danger !!!!

prie prie prie prie prie prie prie

Ta prière a été entendue Aaron !!!! Je regarderais ton fanfic demain, qd je serais moins fatiguée !!!

Roxane a écrit:

aaron a écrit:

MgX, Kangu, Roxane, Manuela, venez, retour, svp !
Tous les spoilers sont effacés !
C'est sûr ! Il n'y a aucun danger !!!!

prie prie prie prie prie prie prie

Ta prière a été entendue Aaron !!!! Je regarderais ton fanfic demain, qd je serais moins fatiguée !!!

Ok Aaron ! merci je le ferai demain aussi...

Merci Roxane et MgX !! Votre intérêt est très, très apprécié !!!!!
J'attends.

Voilà! j'ai essayé de faire de mon mieux, mais il y a certaines expressions ou même phrases que je ne comprend pas... j'essairai de faire la 2ème partie plus tard :wink:
J'espère que cela t'aura aidé quand même...
En tout cas, j'ai trouvé ton histoire très sympa !!



--------
Joan marchait jusqu'à chez elle après l'école, lentement, décalant son sac de cours d'une épaule à l'autre. Sa tête était penchée vers le trottoir gris, qui était actuellement brun foncé avec la pluie, et elle marchait mécaniquement comme si elle était devenue cataleptique. L'herbe, des deux côtés du trottoir, était plus verte que la veille, et sur les buissons poussaient de nouvelles feuilles minuscules. Quelque part tout près, un cardinal rouge chantait à son compagnon. Joan avait noté ses changements environnementaux sans s'y intéresser. Il n'importait peu que le printemps soit arrivé à Arcadia puisque dans son coeur, l'hiver était revenu avec une force soudaine et demeurerait peut-être toujours.

[ ... ]

[ ... ]

Quand les bottes noires sur le trottoir humide sont entrée dans sa ligne de vue, Joan s'est arrêtée juste avant de se cogner dans le garçon obscurément énigmatique et gothique qu'elle connaissait en tant que Dieu. Elle jetta un coup d'oeil dans la profondeur de ses yeux alors que lui l'observait sciemment, puis elle détourna rapidement son regard.

« Ô, dit-elle, n'y vois aucune offense, mais je n'ai besoin d'aucune tâche en ce moment. »

Il répondit seulement avec un geste d'épaule nonchalant qu'elle interpréta comme un acquiescement. Elle reprit donc sa marche, et le garçon gothique marcha près d'elle, les mains dans les poches.

Après avoir marché la moitié d'un bloc de cette manière, Joan cassa le silence. « Alors ? » demanda-t'elle brusquement, en référence à sa question non spécifiée (pas sure...).

« C'est un si joli jour de printemps. »

Elle rit sans humour. « Tu plaisantes, oui ? Le printemps craint (je pense que c'est ce que tu as voulu dire... lol), particulièrement le mois d'avril. Trop de nuages, trop de pluie, aucun jour de fête pendant plusieurs de mois, un total festival de tristesse. »

« La tristesse négligée devient désespoir, l'optimisme devient un pretense (?!) sans joie ; la colère devient amertume, et le monde est vidé de couleur. »

Joan froissée et irritée: « Et ce rapport joyeux (?!) est censé m'réconforter ? »

« Non, répondit-il avec insouciance. Tu recherches le déprimé (je ne sais pas), pas le réconfort. »

« Dépraver ? » (toujours pas...)

« Déprimé. Désespoir. »

« Hmph. Tellement, que même Dieu sait que la vie est désespérée ? »

Il fit un sourire indulgent. « J'honore ta misère, Joan, simplement étant un miroir de ton humeur. »

« Bien, désolée. Je juste ne sens pas tous les menthes poivrées et arcs-en-ciel et la-di-dah. » (j'ai pas tout saisi là)

« Comme je l'ai noté. »

« Et... est-ce que c'est vrai ? »

« Quoi exactement ? »

« Qu'il est désespéré ? C'est simplement la manière dont ton 'système parfait' fonctionne, donc je devrais m'habituer à lui ? [ ... ] »

« [ ... ] »

« Eww ! Stop ! » Joan se tourna vers Dieu, frappant son pied droit pour l'arrêter (je pense). « [ ... ] Je ne veux pas parler de ça. [ ... ] »

Dieu s'arrêta avec elle, inclinant sa tête légèrement, son regard dans le sien. « Quand la douleur rend te tour loin de la lumière, (je n'ai pas compris ce qu tu voulais dire) » dit-il doucement, « tout ce que tu essaies de voir est dans l'ombre et l'obscurité. Dans ces ténèbres, tu ne peux pas voir les choses de la manière qu'elles sont vraiment.

« Comment compte-tu conclure un arrangement avec un sombre fantasme ? »

« Je ne veux pas entendre ça. » Joan soupira. « Hé, tu ne peux pas voir que je ne t'écoute pas en ce moment ? Peut-être tu pourra me parler demain, ou la semaine prochaine, peut-être je t'écouterais alors. Mais maintenant ? En ce moment, je souhaite seulement n'être jamais née. [ ... ] » Les émotions dansaient sur son visage pendant qu'elle luttait pour ne pas pleurer, ici, à ce coin de rue, tellement près de chez elle. Kevin ou même, Dieu interdit, sa mère a pu conduire près et la voir tomber en morceaux. (je n'ai pas compris cette phrase)

Toujours en sa forme gothique, Dieu attendait patiemment, ses yeux ne partant jamais de ceux de Joan.

« Me patronnait, » elle a fini sa phrase enfin. « Mentait à moi. [ ... ] Et je...je juste... » (?!?)

« Joan, » commença Dieu, mais elle l'interrompit.

« Non, dit-elle avec un ton de plaidoirie. « S'il te plait ? Juste... pas maintenant, ok ? Je sais que tu as de la compassion, et je sais que nous devrons le passer en revue bientôt, mais juste... pas trop tôt, ok ? Pas ici. Pas maintenant. Je veux juste renter chez moi, sortir de cette pluie déprimante, prendre un bain chaud, étudier pour ce stupide contrôle de maths et [ ... ] » Son regard fixe rencontra le sien aussi solidement que si elle ne l'avait pas contrôler (je pense que c'est ce que tu voulais dire...), laissant ses yeux accomplirent sa réclamation (peut-être?!).

Après un long temps de silence, il parla. « Ce choix est le tien. » dit-il, avec un signe d'assentiment presque imperceptible. « Tu sais où me trouver. » Il lui donna un dernier regard doux et intense, alors il jaywalké l'intersection à descendez la croix-rue loin d'elle. (?!)

« Merci, » lui lança-t'elle. « Je veux dire, vraiment, merci! »

Sans se retourner, il souleva sa main dans le bref geste de reconnaissance qu'elle commençait à connaitre tellement bien.

Elle observa Dieu partir pendant qu'elle essuyait l'humidité de ses joues (qui pouvait venir de la pluie ou bien de larmes accidentelles) et elle marvelled à la façon dont ses cheveux, évasés d'une manière extravagante, défiaient le peu mais bruinent doucement tandis que ses propres cheveux tombaient et commençaient à frisotter aux extrémités. Elle regarda l'avenue d'Euclid qui menait à sa maison (c'est ce que j'ai compris mais je ne suis pas sure), et elle regarda également le croisement de rue (surement ça) à la forme receeding de Dieu. Puis, sans arrêter de penser à ce qu'elle faisait, elle descendit du trottoir et a commença à le suivre.

« Tu sais où me trouver, » lui avait-il dit, mais était-ce vrai ou simplement une métaphore différente ? Dieu était toujours entré et ressorti de sa vie, en une forme ou en autres, mais avait-elle vraiment vu d'où il venait ou où il repartait quand il l'a laissait ? Naturellement pas. Elle avait toujours été occupée par quelque chose, entourée par d'autres personnes, en retard pour un cours ou... bien, quelque chose. Mais aucune de ces conditions n'étaients appliquées en ce moment. Elle avait le temps, elle avait la curiosité, et maintenant, elle avait également l'occasion. Elle se sourit à elle-même car elle venait de traverser la rue opposée que Dieu avait empruntée, se rappelant vaguement les scènes furetantes des livres de Nancy Drew qu'elle avait l'habitude de lire il y a longtemps.

Dieu gothique continuait de marcher le long de la rue entre les gouttes de pluie, imperturbé.
--------

MgX a écrit:

Voilà! j'ai essayé de faire de mon mieux, mais il y a certaines expressions ou même phrases que je ne comprend pas... j'essairai de faire la 2ème partie plus tard :wink:
J'espère que cela t'aura aidé quand même...
En tout cas, j'ai trouvé ton histoire très sympa !!

Mon Dieu, c'est exquis !!! :026:
Tu m'as donné beaucoup à l'étude, et je !!! MERCI MgX, merci !!

MgX a écrit:

Voilà! j'ai essayé de faire de mon mieux, mais il y a certaines expressions ou même phrases que je ne comprend pas... j'essairai de faire la 2ème partie plus tard :wink:
J'espère que cela t'aura aidé quand même...
En tout cas, j'ai trouvé ton histoire très sympa !!

C'est trop splendide, MgX !
J'ai échangé quelques mots pour aider à clarifier les endroits maladroits, et j'ai récrit quelques phrases. J'ai beaucoup à apprendre pour la façon dont "il a dit" et "elle a dit" que est écrit en français. Et j'ai appris plus des nouveaux mots !

Maintenant je posterai la version révisée et espère qu'elle est presque parfaite !

Voici la nouvelle version :

d'Alumer Une Bougie - partie 1 a écrit:

effacé parce qu'il y a une plus nouvelle version

aaron a écrit:

MgX a écrit:

Voilà! j'ai essayé de faire de mon mieux, mais il y a certaines expressions ou même phrases que je ne comprend pas... j'essairai de faire la 2ème partie plus tard :wink:
J'espère que cela t'aura aidé quand même...
En tout cas, j'ai trouvé ton histoire très sympa !!

C'est trop splendide, MgX !
J'ai échangé quelques mots pour aider à clarifier les endroits maladroits, et j'ai récrit quelques phrases. J'ai beaucoup à apprendre pour la façon dont "il a dit" et "elle a dit" que est écrit en français. Et j'ai appris plus des nouveaux mots !

Maintenant je posterai la version révisée et espère qu'elle est presque parfaite !

Je suis contente d'avoir pu t'aider , par contre je ne dirais pas que cette version est presque parfaite... il lui manque quelques petites choses quand même :wink:

MgX a écrit:

Je suis contente d'avoir pu t'aider , par contre je ne dirais pas que cette version est presque parfaite... il lui manque quelques petites choses quand même :wink:

Bien, s'il n'est pas 'presque parfait', il n'est au moins pas trop mauvais !
C'est vrai que la perfection absolue ne soit pas nécessaire...mais pour lisser les taches raboteuses, c'est bon !!! :028:


J'attends aide additionnelle pour la partie 2 de qui a le courage !

Dans cette version, j'essaye d'employer la ponctuation française de dialogue. Je ne peux pas trouver un site Web qui explique la ponctuation clairement (ou avec les détails), ainsi j'ai essayé de les employer dans les manières desquelles j'ai observé. (Je peux taper le tiret, mais le forum le remplace avec un point d'interrogation. Ainsi, je dois à la place employer deux traits d'union.)
[Grâce à Roxane, j'édité pour employer un seule, trait d'union.]


Je vous demande, svp : est-ce employée correctement ?

Alumer Une Bougie - partie 1 a écrit:

Titre : ALUMER UNE BOUGIE
Auteur : aaron de l'encre
Fandom : JoA / Le Monde de Joan
Personnages : Joan, Dieu gothique
Rating : G
Sommaire : Après que Dieu marche loin, Joan décide spontanément de lui suivre.
Temps : de début avril 2005, quelques jours après les événements de épisode 2x19 (Trial and Error)
Disclaimer : "Joan of Arcadia" and all related elements are ©2005 Barbara Hall Productions, Inc. and CBS Productions, in association with Sony Pictures Television.
This is a non-profit fan fiction, and is not associated with the copyright.
NdA : One-shot, complet. Je suis l'anglophone. Cette histoire version français est traduite de l'anglais indigène, avec beaucoup d'aide de MgX du forum Le Monde de Joan du site Arcadia-tv.com.


Mieux vaut allumer une bougie que de maudire l'obscurité. (Sagesse chinoise)


Joan marchait jusqu'à chez elle après l'école, lentement, décalant son sac de cours d'une épaule à l'autre. Sa tête était penchée vers le trottoir gris, qui était actuellement brun foncé avec la pluie, et elle marchait mécaniquement comme si elle était devenue cataleptique. L'herbe, des deux côtés du trottoir, était plus verte que la veille, et sur les buissons poussaient de nouvelles feuilles minuscules. Quelque part tout près, un cardinal rouge chantait à son compagnon. Joan avait noté ses changements environnementaux sans s'y intéresser. Il n'importait peu que le printemps soit arrivé à Arcadia puisque dans son coeur, l'hiver était revenu avec une force soudaine et demeurerait peut-être toujours.

[ ... ]

[ ... ]

Quand les bottes noires sur le trottoir humide sont entrée dans sa ligne de vue, Joan s'est arrêtée juste avant de se cogner dans le garçon obscurément énigmatique et gothique qu'elle connaissait en tant que Dieu. Elle jetta un coup d'oeil dans la profondeur de ses yeux alors que lui l'observait tout-sciemment, puis elle détourna rapidement son regard.

- Ô, dit-elle, n'y vois aucune offense, mais je n'ai besoin d'aucune tâche en ce moment.

Il répondit seulement avec un geste d'épaule nonchalant qu'elle interpréta comme un acquiescement. Elle reprit donc sa marche, et le garçon gothique marcha près d'elle, les mains dans les poches.

Après avoir marché la moitié d'un bloc de cette manière, Joan cassa le silence :

- Alors ? demanda-t'elle brusquement, en référence du question entièrement qu'elle n'a pas dite.

- C'est un si joli jour de printemps.

Elle rit sans humour :

- Tu plaisantes, oui ? Le printemps sucks, particulièrement le mois d'avril. Trop de nuages, trop de pluie, aucun jour de fête pendant plusieurs de mois, un total festival de tristesse.

- Quand indulgée, la tristesse devient désespoir, l'optimisme devient une blague sans joie ; la colère devient amertume, et le monde est vidé de couleur.

Joan froissée avec l'irritation :

- Et ce connaissance joyeux est censé m'réconforter ?

- Non, répondit-il avec insouciance. Tu recherches l'inconsolence, pas le réconfort.

- L'inconsistance ?

- L'inconsolence. Désespoir.

- Hmph. Tellement, que même Dieu sait que la vie est désespérée ?

Il fit un sourire peu et indulgent :

- J'honore ta misère, Joan, simplement étant un miroir de ton humeur.

- Bien, désolé. Je juste ne sens pas comme les menthes poivrées et arcs-en-ciel et la-di-dah.
[ "Well, sorry. I just don't feel all peppermints and rainbows and la-di-dah." (Elle est sarcastique. Elle ridicules la sensation de la bonne humeur. Essentiellement, elle déclare qu'elle n'est pas heureuse aujourd'hui.) ]

- Comme je l'ai noté.

- Et... est-ce que c'est vrai ?

- Quoi exactement ?

- Qu'il est désespéré ? C'est simplement la manière dont ton « système parfait » fonctionne, donc je devrais m'habituer à lui ? [ ... ]

- [ ... ]

- Eww ! Stop ! Joan se tourna vers Dieu, frappant son pied droit pour ajouter l'emphase. [ ... ] Je ne veux pas parler de ça. [ ... ]

Dieu s'arrêta avec elle, inclinant sa tête légèrement, son regard dans le sien :

- Quand la douleur rend te tour loin de la lumière, dit-il doucement, tout ce que tu essaies de voir est dans l'ombre et l'obscurité. Dans ces ténèbres, tu ne peux pas voir les choses de la manière qu'elles sont vraiment. Comment compte-tu conclure un arrangement avec un sombre fantasme ?

- Je ne veux pas entendre ça. Joan soupira. Hé, tu ne peux pas voir que je ne t'écoute pas en ce moment ? Peut-être tu pourra me parler demain, ou la semaine prochaine, peut-être je t'écouterais alors. Mais maintenant ? En ce moment, je souhaite seulement n'être jamais née. [ ... ]

Les émotions dansaient sur son visage pendant qu'elle luttait pour ne pas pleurer, ici, à ce coin de rue, tellement près de chez elle. Kevin ou même (Dieu interdit) sa mère a pu conduire près et ils pourraient voir son manque complet de commande.

En sa forme gothique improbable, Dieu attendait patiemment, ses yeux ne partant jamais de ceux de Joan.

- Me patronnait, elle a fini sa phrase enfin. Mentait à moi. [ ... ] Et je...je juste...
[ Joan a commencé une phrase au-dessus de cela qu'elle accomplit maintenant. La phrase est temporairement effacée pour éviter des spoilers. ]

- Joan, commença Dieu, mais elle l'interrompit.

- Non, dit-elle avec un ton de plaidoirie. S'il te plait ? Juste... pas maintenant, ok ? Je sais que tu as de la compassion, et je sais que nous devrons le passer en revue bientôt, mais juste... pas trop tôt, ok ? Pas ici. Pas maintenant. Je veux juste rentrer chez moi, sortir de cette pluie déprimante, prendre un bain chaud, étudier pour ce stupide contrôle de maths et [ ... ]

Son regard fixe rencontra le sien aussi solidement que si elle ne l'avait pas contrôler, laissant ses yeux accomplir sa réclamation.

Après un long temps de silence, il parla. Ce choix est le tien, dit-il, avec un signe d'assentiment presque imperceptible. Tu sais où me trouver.

Il lui donna un dernier regard doux et intense, alors il a croisé l'intersection des rues à la croix-rue loin d'elle.

- Merci, elle appelé après lui. Je le veux dire, vraiment, merci !

Sans se retourner, il souleva sa main dans le bref geste de reconnaissance qu'elle commençait à connaitre tellement bien.

Elle observa Dieu partir pendant qu'elle essuyait l'humidité de ses joues (qui pouvait venir de la pluie ou bien de larmes accidentelles) et elle marvelled à la façon dont ses cheveux, évasés d'une manière extravagante, défiaient le peu mais bruinent doucement tandis que ses propres cheveux tombaient et commençaient à frisotter aux extrémités. Elle regarda l'avenue d'Euclid et sa maison, et elle regarda également la croix-rue à la forme receeding de Dieu. Puis, sans arrêter penser à ce qu'elle faisait, elle descendit du trottoir et a commença à le suivre.

« Tu sais où me trouver » lui avait-il dit, mais était-ce vrai ou simplement une métaphore différente ? Dieu était toujours entré et ressorti de sa vie, en une forme ou en autres, mais avait-elle vraiment vu d'où il venait ou où il repartait quand il l'a laissait ? Naturellement pas. Elle avait toujours été occupée par quelque chose, entourée par d'autres personnes, en retard pour un cours ou... bien, quelque chose. Mais aucune de ces conditions n'étaients appliquées en ce moment. Elle avait le temps, elle avait la curiosité, et maintenant, elle avait également l'occasion. Elle se sourit à elle-même car elle venait de traverser la rue opposée que Dieu avait empruntée, se rappelant vaguement les scènes furetantes des livres de Nancy Drew qu'elle avait l'habitude de lire il y a longtemps.

Dieu gothique continuait de marcher le long de la rue entre les gouttes de pluie, imperturbé.

Ce seraity mieux de n'utiliser qu'un seul -, je crois...

Roxane a écrit:

Ce seraity mieux de n'utiliser qu'un seul -, je crois...

Merci Roxane ! J'ai édité pour employer seulement un par un. :028:

Semblent-ils être dans le placement approprié ?
La plus de ponctuation française et anglaise sont pareillement employées, mais pour le dialogue, très différent. J'ai trouvé beaucoup de ressources qui énumèrent les signes de ponctuation et indiquent que "ceci est employé pour le dialogue", mais rien à dire "ceci est comment les appliquer."

Voici la première section de la partie 2 (c'est rendu bref pour avoir besoin de moins de temps). J'avais travaillé à lui, et je pense qu'il y a peu d'erreurs. Peut-être quelqu'un pourrait faire des corrections et gagner l'affection de mon coeur pour toujours ?

Le discours de Samantha est délibérément incorrect de petites manières (parce qu'elle est très jeune).

Alumer Une Bougie - partie 2 (1er section) a écrit:

Une certaine distance derrière lui et du côté opposé de la rue, Joan suivi la figure obscurément colorée, observant et appréciant son attitude de confiance et de nonchalance. À un point, elle pensa qu'elle lui écouté siffler un petite mélodie, mais était que lui ou un certain voisin invisible quelque part ? Elle s'est demandée s'il était même possible que Dieu siffle sous cette forme avec sa perforation de lèvre. Avant qu'elle pourrait décider, cependant, un nouveau bruit a attrapé son attention. Le bruit mou de quelqu'un pleurant.

Les pelouses le long de ce côté ont été légèrement élevées du niveau de la rue lui-même, et la plupart des maisons ont eu quelques petites étapes du trottoir de ville que cela a mené au trottoir de maison. Se reposer sur les escaliers, de trottoir devant une maison jaune avec les obturateurs blancs, avait roux-cheveu la fille peut-être 6 ans de, pleurant sous la pluie.

Joan jetta un autre coup d'oeil vers Dieu et a mentalement gesticulé à elle-même. Son discussion interne duré seulement un moment. Elle approchée le roux et demanda :

- Salut là. Es-tu bien ?

La petite fille ne soulevé pas sa tête, mais secoué sa tête emphatiquement.

Joan placé son sac de cours sur l'étape humide à côté de l'enfant, puis s'est reposé sur le sac.

- Je m'appelle Joan. Quel est ton nom ?

- S'mantha.

- Samantha ? C'est un joli nom.

Samantha obstrué en arrière un autre sanglot et regarda vers le haut Joan avec les yeux vert clair.

- Ne pas joli comme Vanessa ! déclara-t-elle.

- Vanessa est un joli nom aussi, Joan convenu.

- Vanessa ne joli pas plus, dit-Samantha. Elle toute s'est cassée et laid.

- Oh. Qui est Vanessa ?

- Ma Barbie! Samantha déclara avec une tonalité indiquant que Joan devrait avoir su cela. Elle dirigé son doigt à la poupée boueux se trouvant par ses pieds.

Joan atteint pour la poupée de mode qui a eu les cheveux très longs (apparemment blonde de platine) et les quelques rétros années 60 mini-robe avec les raies roses-chaudes. Un du rose-chaud correspondant go-go bottes était absent, et car Joan pris la poupée, un des bras tombé entraînant Samantha commencer un rond frais des larmes et des sanglots.